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Lynde J. Evens
Messages : 136 Date d'inscription : 10/07/2013
Feuille de personnage Fiche de présentation: Race : Chiita - guépard Information:
| Sujet: Lynde - Let stars shine please. They are so innocent ! Mer 10 Juil - 19:00 | |
| Lynde Jefferson Evens • Lynde J. Evens |à prononcer Laïnde| ; • 18 ans, né le 15 Juin ; • Terrien, chiita (Guépard) ; |
• Bisexuel |qui n'assume que de temps en temps sa partie gay| ; • Conseil des élèves ; • Classe 1 du cycle D | Distorsion ; Magie permettant de courber les objets se trouvant dans une surface d'action avoisinant les 25 mètres autours de Lynde. L'objet se tord irrémédiablement lorsque ce dernier en a décidé ainsi et peut même aller jusqu'à se casser. Le pouvoir marche aussi sur la matière organique, mais non sur les Yajuus ou sur les animaux. Il permet aussi de dévier une attaque, armée, en tordant l'arme.
• Peut tordre n'importe quel objet. • Permet de dévier les attaques armées. • Peut tout détruire autours de lui s'il y a un émotion forte, mais cela laisse Lynde inconscient pendant quelques jours.
• Le pouvoirs se déclenche à grande échelle lors d'une émotion trop forte, mais laisse Lynde inconscient après. • Ne peut pas agir au delà des 25 mères. • Ne peut pas tuer un yajuu en tordant son corps.
PERSONNALITÉ SUR TON AVATAR ; - Code:
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Uta no prince sama ; [i]Kurusu Shou[/i] ; Lynde J. Evens ♣ Physique Nous vivons dans un monde d'hypocrite, les beaux habits font la différence. « Vous voyez le gars là-bas ? C'est lui. Lynde. Il est difficile de le manquer, tout son être dégage un truc qui fait qu'on le remarque. Le charisme ? Possible. Mais en tout cas, même avec sa petite taille il fait sensation à chaque fois qu'il entre dans une pièce. Il faut dire qu'il a de quoi se retourner sur son passage, en dehors de sa taille. Oh ! N'allez surtout pas lui répéter ces deux dernières phrases, il déteste qu'on lui rappelle qu'il est en dessous de la moyenne. Surtout qu'il n'est pas si petit que ça : Seulement cinq centimètres en dessous de quelqu'un de normal. Bon.. je vous l'accorde, cela est assez conséquent, mais il parait que les hommes ont une dernière poussée de croissance vers 18 ans, j'espère qu'il en profitera. Encore une fois, n'allez pas lui dire ce que je viens de vous confier, ce n'est pas que qu'il me fasse peurmais il à tendance à s'emporter rapidement sur ce sujet.
Franchement, Lynde n'est pas moche. J'irais même jusqu'à dire qu'il est beau. - Avis d'un pote, simplement, n'allez pas vous faire des idées tout de suite comme ça -. Mais son visage manque encore d'un peu de maturité, tout comme son comportement. J'avoue qu'il a de la chance d'un certain côté : Sa peau est lisse, sans aucune imperfection dû à des boutons d'adolescence.
Il a encore quelques traits enfantins sur le visage, qui n’ont pas voulu partir malgré son avancé dans le temps. Mais, on voit qu’il devient chaque jour un peu plus adulte, de par ses joues, qui ont perdu leur rondeur d’antan, ou par son nez, précédemment légèrement trop remonté mais qu’on pourrait qualifier de « presque parfait » maintenant, avec son arrête droite. Ses lèvres sont, elles, peut-être trop fines et trop étirés pour un homme, mais cela ne choque pas lorsqu’on regarde le visage de Lynde.
Ses cheveux blonds oscillent entre la couleur d'un champ de blé en été et celle de l'or lorsqu'il a trop dormit sous la poussière. Ni trop doré, ni trop de la couleur du blé, ils alternent pourtant entre ces deux couleurs tout au long de l'année, en fonction des saisons, et de la lumière ambiante surtout. Un rayon de soleil en plein sur sa tignasse risquerait de faire mal aux yeux lors d'une observation trop prolongée de celle-ci, puis ce qu'à ses moments-là, elle semble briller, voir, renvoyer la lumière jaune. La moitié du temps coiffés à la va-vite, ses cheveux sont source de fierté pour le jeune homme - Si on peut parler de fierté dans un cas où il ne se soucie pas plus d'eux que des lacets de ses chaussures.- . Quelques mèches viennent lui cacher la vision - lorsque celle-ci est claire, et non embrumée par la fatigue, ou, plus rare, par quelques substances illicites difficiles à se prodiguer - en raison du manque de soin accordé à la masse blonde. Ce qui explique en grande partie pourquoi les cheveux de Lynde partent dans tous les sens, en plus de leur « incoiffabilité » naturelle. Néanmoins, ils restent, heureusement, faciles à entretenir, ils n'ont donc pas besoin de beaucoup de shampoing pour rester doux. Quelques fois, pour aider sa vision, il vient attacher ses cheveux avec des barrettes noirs, car -citation de Lynde- « A quoi bon mettre des barrettes si elles ne se voient pas ? Cela reviendrait à faire comme les femmes »
Derrière ses mèches partant dans tous les sens, on trouve deux yeux. Bleus, d’une teinte profonde, qu’on ne serait définir, de peur de se perdre en les fixant trop longtemps dans l’espoir de mettre un nom dessus. Entre l’océan et le ciel, entre la pervenche et la lavande, entre de nombreuses teintes, on ne peut choisir laquelle est la mieux adaptée. Alors, on dit simplement que les yeux de Lynde sont bleus. D’un beau bleu. Ce qui explique parfois la confusion lorsqu’on dit de lui qu’il a les yeux turquoise.
Lynde ne s’habille jamais comme tout le monde – même lorsqu’il porte l’uniforme !-. Il faudra toujours qu’il rajoute des accessoires partout, retrousse les manches et mette des couleurs sur tout. De même, il ne s’habille que rarement pareille. Mais, il peut se le permettre, il est riche ! Alors, il claque une partie de son argent dans les fringues, surprenant pour un mec.
Mais ce qui choquera le plus les gens sera cette manie du vernis à ongle noir. C’est comme sa marque de fabrique : ses mains sans vernis noir ne peuvent pas exister. Vous pourrez le regarder attentivement car celui-ci n’est jamais détérioré, il sera parfait tous les jours. Parfois, les gens se demandent si ce vernis est vraiment un vrai vernis, surtout les filles, qui ont le leur qui se barre au bout de deux jours. Mais je peux vous le dire, en tant qu’ami proche de Lynde : Ce verni est la chose à laquelle il fait le plus attention dans son physique. » - Interview anonyme d’un ami proche de Lynde. ♣ Mental Méfie-toi: Etre et paraître ne sont pas la même chose. Résumé à la fin. Lynde est difficilement définissable. Il n'a pas plusieurs personnalités, n'est pas quelqu'un d'extrêmement complexe ou simple, et ne s'éloigne que rarement de sa réelle identité. Pourtant, il est dur de le décrire. Dur car on ne serait par où commencer, ni comment expliquer les traits de caractère qu'il possède. Lynde n'est pas comme il est actuellement depuis la naissance, il l'est devenu. A cause de ses rencontres, de ses choix, de ses douleurs, peines et peurs. A cause de sa vie en général. Il n'est sûrement pas le seul à avoir été influencé de cette façon, ni le plus singulier ou important, mais c'est lui qui nous intéresse pour l'instant, et personne d'autre.
Il cache une certaine fragilité, durement camouflée et rarement exposée. Tous ses habits, touts ses accessoires et toutes ses choses futiles qu’il porte ne sont là que pour cacher une part de lui qu’il ne souhaite pas montrer aux autres. Une part de lui qui restera invisible aux yeux de tous, recouverte par un masque d’excentricité. Ne vous trompez pas. Lynde n’est pas extravagant car qu’il est né ainsi. Il l’est devenu. Brisé de nombreuses fois, il a préféré choisir ce chemin plutôt qu’un autre pour cacher ses nombreuses peines. « Pourquoi pas ? ». Derrière toutes ses tenues affriolantes, il se sent bien, en sécurité, comme inatteignable. Tout ça n’est que mensonge, mais il préfère vivre dans cette illusion plutôt que dans la réalité.
Et puis, Lynde aime attirer les regards. Il aime se faire remarquer, que l’on chuchote sur son passage, en bien ou en mal. Même s’il est devenu excentrique à cause des épreuves qu’il a rencontrées, il aime ne pas passer inaperçu. Le blond aime ne laisser personne indifférent, il veut forcer les gens à avoir un avis sur lui, négatif ou positif. Pour cette raison, il agira rarement avec neutralité, il devra toujours prendre un parti, même si réellement il ne soutiendra aucun des deux camps. On peut aller jusqu’à dire que Lynde se foutra éperdument de la réalité des choses. Il y aura beau y avoir une cruelle injustice ou une énorme inégalité, ce n’est pas pour autant qu’il interviendra. Ou qu’il n’interviendra pas. Imprévisible comme il est, il pourrait un jour secourir la veuve et l’orphelin et le lendemain les laisser mourir. Question de motivation, d’humeur, ou encore d’opportunité.
Le garçon n’est pas égoïste. Il lui arrive de penser aux autres, et pas que rarement. Mais il a en revanche une satanée manie à être légèrement trop opportuniste. Le nombre de fois où il aura sacrifié des choses pour en avoir des meilleurs ne se comptent plus. Les relations positives n’ont et n’auront jamais fait partis de ses choses. Lynde a toujours eu besoin de ses amis pour se relever, il ne peut donc les vendre ainsi, même pour une belle opportunité. L’amitié est la chose la plus sacrée qu’il existe pour lui. Sans elle, il ne serrait plus là. Sans elle, il aurait sombré depuis longtemps dans l’alcool, la dépression, la drogue. Les amis sont les seuls gens sur qui on peut vraiment compter, l’amitié est la seule chose réelle dans ce monde. L’amour ne compte pas, il est trop facile à briser, trop facile à obtenir, trop facile, tout simplement. Le blond n’y croit pas. Il a déjà connu ce genre de sentiments, mais comme il n’aime pas les conséquences, ni les souffrances que cela entraîne, il préfère ne pas s’y frotter, rester le plus éloigné possible.
Lynde a tendances à choisir ses amis, et ses relations en général. Ne rentre pas dans la vie du jeune homme qui le veut. Ou alors, rarement. C’est la seule chose que contrôle le guépard un peu près. Il aime les gens qui se démarquent des autres, ceux qui ne ressemblent pas à « l’étudiant moyen », qui ont leur propre caractère, opinion et goût. Ceux qui pensent, parlent, s’expriment librement, en se moquant du regards des autres. Ils peuvent appartenir à toutes les classes sociales, être étiquetés « intello », « geek », « fou », ou au contraire être considérés comme les personnes les plus populaires de l’établissement, tant que ces personnes sortent du lot, Lynde ne fait pas la différence. Il n’aime pas la normalité, s’étant réfugié dans son propre monde, il a bannit tous ce qui était banale.
Le jeune homme est la personne sociable par excellence : Il ose aller vers les autres, n’a pas peur de parler, d’affirmer et d’afficher ses idées. Mais, à contrario, il a le sang chaud. Il le tient de ses gênes de chiita. De ce fait, il aura tendance à s’emporter, et à chercher la bagarre. Mais le plus flagrant sera lors des combats : Emporté par sa « partie animale », il aura du mal à réfléchir et risquera de blesser quelqu’un, si ce n’est pas pire. Plus jeune, il avait pour habitude de se battre, ses réflexes et les techniques apprises sont restés, faisant de lui un redoutable adversaire, malgré ce que peuvent en dire certain, le jugeant sur sa taille et son apparence plus que sur ses prouesses. Cela ne fait qu’énerver encore plus Lynde, très susceptible sur son physique. Il n’est pas désagréable à regarder –loin de là-, mais les critiques sur sa taille, revenants assez souvent, lui tape sur le système : Il est si facile de se moquer des autres !
Les chiitas qui réussissent existe, mais Lynde n’en fait pas partit. Les études ne l’intéressent pas, elles ne font que lui rappeler de mauvais souvenirs. Plus il s’applique, plus il essaye de comprendre les cours, plus cela lui fait mal. Les cours lui rappellent sa famille, alors il n’écoute pas, faisant grâce de sa présence sans jamais vraiment être là. Il tapote ses ongles noirs sur la table, joue avec son stylos, dors, mais fait tous pour ne pas se rappeler la tragédie familiale. « Pourquoi est-ce que les cours lui font penser à un élément de sa vie ? » Les cours sont ennuyants, sujets à l’égarement de l’esprit des élèves, ils ont tendances à ressasser de vieux souvenirs, des événements récemment arriver ou alors à penser au futur. En d’autres thermes, a réfléchir à tous sauf aux cours. Même si l’incident remonte à plusieurs mois, dès qu’il se retrouve trop seul, ou dans l’incapacité de parler, Lynde y repense. Il s’en veut de ne pas avoir été là cette nuit-là, fait des hypothèses en « Et si.. » ou « Mais alors… », et se fait du mal par la même occasion. Il en est de même pour l’attaque de son ancien pensionnat, et il formule des pensées plutôt.. mauvaises à l’égard des rebelle. Il ne les aime pas. Ils ont tués des gens qu’ils aiment. Ils vont le regretter. Le meilleur moyen qu’il est trouvé pour arrêter d’y penser est de sécher les cours. Ces absences sont choses courantes.
Et après, c’est sa sœur qui l’appelle, une fois que le directeur lui ai rappelé les trop nombreuses absences de son frère. Elle commence à l’engueuler pour tous un tas de chose, de ses dépenses vestimentaires à ses mauvaises notes et finit par le menacer de lui couper les vivres. Mais jamais elle ne le fera, elle tient trop à lui. Comme Lynde tient trop à sa sœur. Elle est sa seule famille restante. Avant de raccrocher, elle glissera toujours un petit « gamin », « immature », « enfant irresponsable ». Elle n’a pas entièrement faux sur ce sujet. Le jeune homme est resté un peu des trois, incapable de prendre complètement soin de lui, il préférera aller s’amuser plutôt que de prendre ses responsabilités, tout comme il est encore un grand fanat’ de tous ce qui est sucrerie, à son âge.
En résumé, le petit blond au nom de Lynde est un gars qui a été de trop nombreuses fois brisé, qui s’est relevé à chaque fois, grâce à ses amis, et qui maintenant vie sous un masque appelé excentricité. Il se bagarre souvent, entrainé par son sang de chiita, n’aime pas les cours et cherche à tous prix à les sécher. Malheureusement, sa sœur l’apprend à chaque fois, et comme elle est la seule personne que respecte Lynde, il essaye de faire un effort et d’y assister. Il combat les Rebelles, et ne les aimes pas, cherchant même à les tuer. Il ne croit pas en l’amour véritable, à cause des trop nombreuses blessures reçues, juste aux petites relations de passage. Il choisit, ou du moins croit choisir et contrôler, les gens qui entrent dans sa vie, qu’ils soient des amis, ennemis, … Tout ce qu’il cherche est que ces gens sortent du lot. Il aime attirer l’attention, est quelqu’un de sociable, qu’on pourrait qualifier de « populaire » et considère l’amitié comme la chose la plus importante au monde. Il est imprévisible et opportuniste, un peu gamin et fêtard sur les bords, mais cela ne l’empêche pas d’aller vers les autres, sans jamais avoir honte. Voilà, Lynde, c’est tout ça à la fois, avec ses défauts et ses qualités, on le prend comme il est ou bien on va se faire foutre.
♣ Dossier du Pensionnaire :
Canard ou Mouton ? Mouton, il y a plus à manger. Viande ou poisson ? Viande ! C'est le meilleur pour un carnivore. Si vous étiez un légume ? Heu, une limace, pour manger les légumes ! La couleur de votre serviette ? Bleu rayé vert, avec des trucs bizarres en jaune. Vos phobies ? La perte de mes relations proches Si on vous annonce que vous mourrez dans moins de 5 minutes ? J'afficherai une grande affiche de moi sur le pensionnat sur plusieurs étages, puis je sauterai devant. Vous dans quinze ans ? Milliardaire, of course. ♣ History "Please, please, tell-me your story" [blabla] Lettre de Melody, la sœur de Lynde, anciennement Haru. [blabla] Lettre des grands-parents. - Résumé rapide de sa vie d'avant:
Lynde est né sous le nom d'Haru Kazama, en Angleterre, en même temps que son jumeau, -logique-. Son père est anglais et sa mère est à moitié japonaise, Lynde apprend donc le japonais depuis sa naissance. Il a manqué d'affection familiale et a commencé à devenir un élève turbulent, on l'a donc envoyé dans un pensionnat dès son plus jeune âge. Lorsque le premier pheobe a été créé, sa famille a emménagé au Japon, pour que Melody, sa sœur, y aille. En effet, depuis la disparition des humains, la famille Kazama est dans les armes, ils ont une multinationale. Il était donc mieux vue que leur fille aille dans un pensionnat primant la paix. Sa famille côtoie régulièrement les événements mondains, entre bourgeois et nobles. Mais pour en revenir à l'essentiel, ses parents et son frère sont morts assassinés, alors qu'il était encore dans son école, en Angleterre. Sa sœur l'a ensuite fait venir au Japon, et alors qu'elle reprenait l'entreprise à 22 ans, elle l'a inscrit à Pheobe, pour garder un œil sur lui. Voilà d'où commence son histoire. Chers grands-parents,
Je sais que nous ne nous sommes jamais vus. Je sais aussi que vous avez renié mon père lorsque celui-ci s'est marié à ma mère. Je ne peux pas discuter sur votre droit de faire cela, surtout que comme vous le savez sûrement, il est mort. Tout comme ma mère, et l'un de mes frères. Je ne vous ai pas vu lors de leur enterrement, il y a deux ans, je présume donc que vous avez effacé cette partie de votre famille. Pourtant, j'aimerais faire appel à votre sens du devoir envers votre progéniture. Lisez au moins ma lettre en entier avant de décider.
Depuis l'attentat de mes parents -et de mon frère-, j'ai repris l'entreprise familiale. La fabrication d'arme. Jusque là, je gagnais plutôt pas mal, pour une jeune femme de 22 ans, et j'avais de quoi subvenir largement au besoin d'Haru, en plus de mes propres besoins. Les revenus étaient stables, ce qui était plutôt normal, nous n'étions pas en guerre, et malgré les nombreuses menaces, rien n'était arrivé.
Et puis, mes recettes ont explosé, littéralement. Du moins, pour le Japon. Effectivement, pour mieux passer le fait d'être une entreprise d'arme, mes parents m'avaient inscris au pensionnat pheobe, « le pensionnat de la paix » lors de son ouverture. Et au fil des années, ils ont rapatrié leur multinationale dans ce pays, ce qui a été plutôt bénéfique. Bref... je m'égare. Ce que je voulais vous dire, c'est que je sens, ou plutôt je sais, que quelque que chose va se passer. Ses armes, je les ai vendus aux rebelles, ils projettent de prendre le pensionnat pheobe d'assaut.
Je ne sais pas quand va être leur attaque, mais je souhaite protéger Haru Je ne veux pas qu'il subisse, ni qu'il connaisse cette guerre. Je vais donc lui trouver un nouveau nom, une nouvelle identité et l'envoyer sur l'île de Man. Mais comme je n'ai pas d'assez grande relation en Angleterre, j'ai besoin de vous. Je sais que vous y habitez, et si vous hébergez mon frère, je vous promets de vous verser de l'argent chaque mois, je ne veux pas qu'il lui arrive de mal.
Réfléchissez-bien. Melody Kazama, votre petite-fille. Mademoiselle Melody,
Comme vous l’avez si bien soulignez, nous ne vous considérons plus de notre famille. De plus, avoir vendu des armes à des gens qui veulent le mal est intolérable. Je crains que nous n’accédions pas à votre requête.
Cordialement, Mrs & Mr Kaye. - Deux mois plus tard - « Alors, comment est ton nouveau pheobe ? Je suis sûr que tu as déjà des amis ! Et ce nouveau nom ? Tu le préfères à Haru ? » Ils étaient tous les deux au restaurant, un petit bistrot sans vraiment de prestige, avec banquettes dans le style d'un fast-food. Lynde fixait sa soeur, Melody, sans lui parler. Et ce depuis qu'elle était arrivée. Pourtant, elle était venue en avion exprès pour le voir. « Tu crois peut-être que je ne sais pas ce que tu as fait ? Tu me crois assez con pour ne pas me renseigner sur ce qu'il s'est passé ? Réveille-toi soeurette, j'ai grandi.. et ce que tu as fait est juste.. est juste... Merde quoi ! » « Lynde ? De quoi tu parles ? » Melody commençait à s'inquiéter, elle avait peut-être un peu trop sous-estimé son frère, de plus, elle n'avait sûrement pas choisis la bonne école pour lui cacher les carnages du premier Pheobe. « DE TA VENTE ! Je parle des armes Melody ! Ces armes que tu as vendues aux rebelles ! Tu sais, dans l'ancien pensionnat où j'étais ? Non.. cela ne te dit rien ? J'ai perdu des gens que j'aimais là-bas ! Tu ne crois pas que j'allais perdre tout contact avec les gens du Japon ? Ils ne me donnaient plus de nouvelles, je me suis inquiété. Et puis j'ai appris la nouvelle ! Tu as mal choisi mon nouveau pensionnat, les réfugiés sont venus ici. Le hasard ? Non ! Je crois que tu savais exactement où il allait aller ! Mais le pire.. le pire.. c'est que tu aurais pu prévenir la population ! Mais non ! Rien ! » S'énerva le blond. « Mais je te protégeais Lynde ! Tu crois que c'est facile ? J'ai repris notre multinationale à 22 ans ! Alors même que je finissais mes études ! Je ne voulais pas tous foutre en l'air, tu es tout ce que j'ai ! » « J'ai.. j'ai perdu des amis, proches, très proches. Mon meilleur ami est mort là-bas ! En allant défendre le pensionnat, NOTRE PENSIONNAT. Et.. le pire ? Mon.. » Lynde se stoppa net, alors même qu'il débitait ses phrases dans tous les sens depuis tout à l'heure. Il n'avait jamais dis à sa soeur qu'il était bisexuel, et cela n'allait pas se faire maintenant. Il se re-concentra, se calma puis continua. « Ma petite amie est morte. Je crois que je l'aimais. Je ne lui ai jamais dit. Mais maintenant, c'est foutu. ». Il se leva de table, alors même que le serveur arrivait pour prendre les commandes.. « Tu aurais au moins pu prévenir la directrice... non, tu AURAIS DU ! » Il laissa sa sœur seule, qui ne pu que murmurer, faiblement, un « elle le savait », que personne n’entendit. Derrière l'écranAlors là, c'est moi ! -Ahah, c'est nul-. Bref, j'ai un humour pourri, j'aime parler, surtout pour rien dire, et en fonction des fois, je suis sur la CB. J'ai dans les 16 ans, j'ai plusieurs pseudos, je graphe, je code, je photographie et je vidéote. J'ai des chaussettes noir actuellement, mais c'est rare, surtout qu'il fait chaud. J'ai déjà rencontré 4/5 membres du forum, voir moins ou plus, je sais plus. Je me joins à la secte du Yaoi, mais je ne suis pas une grande pratiquante '-'. Ah, et si vous ne l'aviez pas remarqué, je suis une fille !
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Dernière édition par Lynde J. Evens le Ven 12 Juil - 11:44, édité 1 fois |
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