Castiel Kay ; 18 ans || 25 décembre 1995 ; Bisexuel ; Rebelle ; Cycle D || Classe 1 ; Terrien || Okami ;


Séduction ; Description : Ce don de séduction me permet d'obtenir ou de simplement séduire n'importe laquelle jeune fille ou garçon de mon âge. Je peux faire ensuite tout ce qu'il me plait d'elle ou de lui, je les manipule. Je peux être sadique et le faire exprès, juste pour créer des histoires, puisque cela m'amuse. Enfin, personne ou presque, ne peut me résister. Mais malheureusement, ce don ne peut pas être toujours contrôlé, c'est l'une des failles principale de ce don.

+ Avantages :

• Je peux attirer toutes les filles et tous les garçons que je veux.
• Je peux faire mienne celle ou celui qui me plaira.
• Je peux manipuler ces personnes à ma guise.

- Inconvénients :

• Ce don ne peut pas toujours être contrôlé, donc parfois, il peut agir sur des personnes que je ne veux pas.
• Faire du mal à certaines personnes sans forcément le vouloir.
• Le don peut se déclencher tout seul et m'envoyer une foule de gens à mes pieds.

PERSONNALITÉ SUR TON AVATAR ;

Code:

Amour Sucré ; [i]Castiel[/i] ; Castiel Kay

♣ Description : 10 lignes pour te décrire physiquement et mentalement.

• PHYSIQUE •

Je suis un garçon de grande taille. En effet, je mesure environ 1 mètre 80. Mon corps est assez mince, disons que mon poids ne dépasse pas les 65 kilos, et je trouve c'est très bien pour mon âge. Je possède des cheveux noir ébène, tout comme la nuit la plus profonde que l'on est jamais vu, sans aucune lumière qui viendrait y cacher complètement son obscurité pure et totale. Mes cheveux sont mi-long et la taille de ceux-ci m'arrive jusqu'en bas du coup. Je possède une frange courte sur les côtés et longue au milieu, allant jusqu'au centre de mon nez. Mes yeux sont gris, comme la couleur sombre des nuages quand ils recouvrent le magnifique ciel bleu azur. Mon regard est très expressif. Il l'est tellement que l'on peut lire en moi rien qu'en me regardant dans les yeux. Mon visage possède des traits fins dispersés sur mon teint assez pâle. Mon petit sourire sur le côté est éclatant, mais reflète mon sadisme. Je suis musclé sur toutes les parties de mon corps, mais surtout au niveau de mes bras et de mes abdominaux. J'ai donc une certaine force dans les bras qui me permet de me bien me battre, et de retenir quelqu'un comme je le souhaite. En général, on ne peut pas me fuir. Je suis séduisant, et il faut dire le physique m'aide beaucoup pour mon don que je préfère cacher aux autres.

• PSYCHOLOGIE •

Je suis un garçon rebelle à cause de mon père et de ma mère, mais je ne vous en dirais pas plus. Je suis parfois violent, surtout quand je croise quelqu'un que je déteste, ou pour me défendre. Être trop gentil serait être faux-cul avec les autres, et je ne souhaite pas du tout le devenir, j'ai ma fierté. Je critique beaucoup, surtout envers des personnes que je n’apprécies pas, et je m'en contre-fiche totalement que cela crée ou non des histoires. Je suis brusque, avec tout le monde, même avec mon meilleur ami. Je ne laisse pas indifférents les nouveaux ou les nouvelles, c'est mon caractère, je ne changerai pour personne. Je suis assez fermé d'esprit, je ne parle pas de mon passé et je préfère rester dans ma profonde solitude, comme à mon habitude. Je suis un peu plus ouvert d'esprit envers mon meilleur ami. Il sait tout de moi, mon passé, mes problèmes, on se sert mutuellement les coudes et on se redonne le moral. Je chahute souvent avec lui, car seul lui me fait ressortir de ma solitude. Je déteste par dessus tout recevoir des ordres de n'importe qui, même de mon meilleur ami. Celui qui ose m'en donner, il subira mon châtiment et il ne le refera plus jamais. Je ne supporte pas qu'on me réponde mal ou que l'on me tienne tête, cela me met en rogne et c'est là que je deviens vraiment violent et que j'y vais un peu fort dans mes mots. Je suis légèrement sadique et j'ai des idées mal placées. Sinon, malgré mon sale caractère, je peux me montrer doux et gentil, mais que peu, et surtout quand je suis chez moi avec un ami ou une amie, mais c'est rare. Je ne suis pas non plus du genre à offrir des cadeaux, à aller en boîte de nuit, mais j'aime boire de l'alcool, jusqu'à parfois être dans un état fort pitoyable. J'aime ma guitare électrique, les cigarettes et quelque chose en particulier qui reste pour le moment secret, et ce sont trois moyens de me calmer les nerfs.

♣ Dossier du Pensionnaire :

Canard ou Mouton ? Mouton. (Bêêêê).
Viande ou poisson ? Poisson.
Si vous étiez un légume ? Tomate.
La couleur de votre serviette ? Violet et Bleu.
Vos phobies ? Les araignées et tous les autres insectes aussi répugnants les uns que les autres. Bien sûr, il y a des exceptions. Puis ajoutons à ça les reptiles.
Si on vous annonce que vous mourrez dans moins de 5 minutes ? Je désobéis aux lois.
Vous dans quinze ans ? MOI PRÉSIDENT !

♣ Votre histoire :::

Je vivais auparavant dans une extrême solitude, sans pour autant oublier qu'il y avait mes parents. Pourtant, jamais ils ne s'occupaient de moi, jamais ils ne faisaient attention à ma personne, comme si je n'avais pas existé. Je me sentais de trop déjà dans cette maison, mais sans savoir pourquoi, malgré le comportement inadmissible de mes parents, je les aimais. Bien belle erreur de ma part. Mais bon, je ne devais pas m'en vouloir, j'étais naïf à mon âge, comme tout autre enfant. Les seules personnes qui me sortait de mon trou, de ma profonde solitude n'étaient autre que mes deux meilleurs amis : Ambre, une blonde aux yeux azur comme la couleur de l'océan, et Lysandre, que je trouvais spécial mais pas mal, il avait une chevelure grise plutôt métal, et des yeux différents, un avait la couleur or, et l'autre avait la couleur émeraude. Lorsque je les voyais, j'étais toujours heureux, parce que je savais qu'il y avait au moins deux personnes qui savaient m'apprécier à ma juste valeur. M'amuser ainsi avec eux me redonnait le moral à un tel point que je ne croyais pas que cela était possible. Mais au fond de moi, je me disais que ce bonheur ne durerait pas. Chez moi, je m'enfermais dans ma chambre, mais personne n'était jamais venu me voir, me prendre dans les bras, me dire "je t'aime". Non, jamais on ne m'a montré une preuve d'amour. Je m'étais souvent écroulé sur mon lit pour pleurer, parce que je pensais qu'en réalité, je ne comptais pas pour mes parents, que je n'étais qu'un raté. Puis le fait que j'étais fils unique ne m'avait pas beaucoup aidé, car je me sentais encore plus seul que si j'avais eu un frère ou une sœur. Finalement, j'avais eu beau être né le jour de noël, je n'étais pas un cadeau, mais plutôt un fardeau pour mes parents.

Un jour, alors que je quittais l'école un peu en avance, car un professeur était absent, je déposais mon sac dans ma chambre, et je me décidais à ne plus me mettre à part, de mon plein gré. Je m'approchais de la chambre de mon père, mais mystérieusement, elle était fermée. J'enclenchais donc la poignée, et ce que je vis me laissais bouche bée, et cela m'horrifiais fortement : mon père était en train de tromper ma mère avec une femme beaucoup plus jeune que lui. Je portais ma main à ma bouche, et je claquais la porte un grand coup avant de descendre les escaliers quatre à quatre en courant. Je ne comprenais pas exactement ce qui se passait, mais je voulais m'enfuir le plus loin possible de cette maison. Je commençais à ouvrir violemment la porte d'entrée, quand j'entendis des pas précipités jusqu'à moi. Mon père me prit par le bras et me gifla le plus fort possible. Ce qui me fit un choc horrible, et un mal terrible. Je pleurais, de tout mon être, de tout ce qui m'attristait. Mais l'homme qui se tenait devant moi resta de marbre face à mes larmes. Il n'avait pas de cœur, vraiment pas du tout. Il se mit à parler sur un ton sévère et me dit que je ne devais révéler à personne ce que je venais de voir, au risque d'être frappé à nouveau. Ensuite, il me lâcha tellement fort que j'en tombais à terre, toujours en train de pleurer. Je n'avais jamais été aussi triste et choqué de toute ma vie. Quand ma mère était rentrée de son travail, mon père se conduisait autrement, et faisait comme si de rien était. Ce type me dégouttais, mais je ne pouvais rien faire, non, rien du tout. Mais plus tard, quand ma mère apprit ce qu'il se passait, elle tenta de se suicider. Mais cette tentative échoua. Elle m'avait fait beaucoup de mal, elle avait agit en toute lâcheté, me laissant moi, son fils, moi qui l'aimait, non, je ne comptais pas pour elle, puisqu'elle n'avait pas pensé une seule seconde à moi, à ce que je pouvais ressentir.

Plus tard, ma mère qui n'avait pas la force de mettre à la porte mon père, essaya de tout faire pour reconquérir le cœur de cet homme que je détestais à présent. J'avais beaucoup souffert de toutes leurs actions pitoyables. Puis, lorsque je n'avais que quinze ans, ils avaient décidé de partir aux États-Unis, me laissant seul. C'est à cause de ça d'ailleurs que je me suis retrouvé ici, en Pensionnat. Je me suis ensuite renfermé sur moi-même, laissant place à la solitude, même si je ne l'aimais pas. Je me confiais difficilement à mon ami Lysandre, et il me redonnait un peu le moral à sa façon. Je me suis disputé avec Ambre, parce que son frère, Nathaniel avait croisé mon père qui était parti avec une femme autre que ma mère dans un hôtel. Il était au courant de tout, et je le détestais de tout mon être. Puis, comme Ambre le savait aussi, et qu'elle en était devenue désagréable, j'avais décidé qu'elle ne ferait définitivement plus partie de mes amis et je la rejetais à chaque fois qu'elle osait me parler ou s'approcher de moi. J'avais presque tout perdu en l'espace de peu de temps. Quelques jours plus tard, je décidais d'acheter un chien, un beauceron que j’appelais Démon. Cet animal représentait beaucoup pour moi à présent. Il m'aidait à oublier ce qu'il s'était passé, mes malheurs et tout le reste. Au fur et à mesure des jours, je m'étais beaucoup attaché à lui. Mais Démon aussi avait l'air de s'être attaché à moi et comprenait lorsque j'étais triste. Il réussissait à me comprendre, ce chien m'épatais beaucoup. Il était très gentil et affectueux. Tout le contraire de mes parents, qui n'avaient fait guère attention à moi. Mais maintenant, tout était fini, et je décidais d'oublier. Je ne les considérais plus comme tels. Ils n'étaient plus que des inconnus à mes yeux.

Après tout ce qui venait de se passer, je décidais de m'endurcir. Je ne voulais plus être le gentil petit garçon attentionné, doux, généreux et sentimental. Non, je ne le voulais plus, je voulais être différent. Je changeais de style vestimentaire, m'habillant avec des couleurs noir et rouge. Je devenais un rebelle, toujours à chercher des histoires, à être violent et pas doux avec mes mots. Je critiquais tout le monde, ou presque. Je devenais brusque et méchant envers tous ceux que je croisais. Je n'acceptais pas de recevoir des ordres, je n'étais à la merci de personne. Et surtout, je m'abandonnais à ma solitude et je restais fermé d'esprit. Mes paroles étaient froides, et j'étais dur avec tout le monde. Mon sourire devenait de plus en plus rare, sauf lorsque j'étais avec Démon et mon meilleur ami. Seul Lysandre savait ce que j'endurais, puisque je lui donnais des explications plutôt difficilement de ce qu'il se passait. Après tout, il n'était pas mon meilleur ami pour rien. Puis, je fis encore pire que sa. Je séchais les cours assez souvent, et je signais moi-même mes motifs d'absences car mes parents étaient partis pour les États-Unis. Quand j'allais en cours, c'était soit pour dormir, soit pour rêvasser, soit pour jouer avec mon portable ou pour écouter de la musique, rien d'autre. Je détestais les cours comme je détestais les deux inconnus à mon égard qui me servaient de parents. Mais plus tard, je découvris que j'avais un don, celui de la séduction. Un tatouage en forme de cœur avec des ailes s'était logé sur le haut de mon bras droit. Il était de petite taille, mais je compris qu'il servait à activer mon don. Je pouvais attirer n'importe laquelle fille de mon âge avec ça. Je compris à cet instant, que je n'étais peut-être pas si différent que mon père, non, on était les mêmes. Comme on disait souvent, tel père, tel fils. Je ne pouvais pas y croire. Mais finalement, j'avais joué avec des filles, sans rien faire avec elles, et je les avais lâchées juste pour les faire souffrir et créer encore plus d'histoires. Je n'étais pas un rebelle pour rien moi. Cela prouvait quelque part que effectivement non, je n'étais pas du tout comme mon père, mais juste un rebelle qui faisait son travail avec plaisir. Parfois, je menaçais des personnes en prenant l'apparence d'un loup, et sa créait encore plus d'ennuis, et ça m'amusait. Ma passion que je partageais avec Lysandre était pour ma part, la guitare électrique, et pour lui, la composition et le chant. Mais au fond, que fallait-il que j'ai de plus pour être complètement heureux ? Et si mes parents décidaient subitement de revenir, est-ce que je l'accepterais ?